Série L’Adultère : (Partie 7). En Vacances Avec Un Maitre-Nageur.2/4

Je m’appelle Alexandra, je suis une femme de 42 ans, mariée depuis 15 ans, à Armand un riche industriel de 18 ans mon ainé qui m’avait fait deux beaux s. Comme je vous l’avais déjà expliqué lors de mon premier récit, j’étais un ancien mannequin occasionnel posant pour de la lingerie féminine. Mes formes étaient avantageuses : 1,69 m pour 58 kilos, une poitrine 85B. Avec mes cheveux ondulés châtains sont coupés assez courts, mon visage, mes yeux bleu foncé, ma bouche un peu pulpeuse et mon sourire beaucoup d’hommes se retournaient sur mon passage ou les plus téméraires me faisaient carrément la cour. Encore aujourd’hui, j’ai conservé ma silhouette de mannequin.

Il y a de cela deux ans, cette année-là, les s étant en vacances chez mes parents à Paris, nous avions réservés pour dix jours, un studio dans l’hôtel d’un village de vacances près de Toulon, où de nombreux vacanciers louaient des gites dans un immenses parc entièrement clos. Restaurant, bars, plusieurs bassins de piscines, grandes salles de spectacles divers, boulodrome, terrains de sports etc. Tout était réuni pour passer d’excellentes vacances. Armand avait choisi notre studio au rez-de-chaussée, nous pouvions bénéficier d’une terrasse privée où je me délassais les matins de bonne heure en attendant mon mari qui faisait sa grâce matinée. Cet espace extérieur donnant sur la pièce de vie, était un peu à l’écart et proche de l’allée menant à l’entrée du personnel.

Depuis deux jours, installée sur la table de terrasse devant mon café, lisant un magazine féminin, je voyais le maitre-nageur arriver vers 7h45. Un beau mec, assez jeune, grand, châtain, les cheveux bouclés, la peau bronzée et super bien foutu avec quelques poils entre ses beaux pectoraux et sur sa tablette d’abdominale. Ses fesses étaient fermes et ses jambes très bien dessinées. Il était musclé comme un Dieu. Pendant la quinzaine de mètres qu’il faisait à pied devant moi, il me regardait et me souriait, nous nous disions bonjour et je lui rendais son sourire.

C’était l’homme parfait pour fantasmer.

Le lundi matin, avant de prendre le déjeuner avec Armand, j’étais allée le rejoindre au bord de la piscine et j’en avais profité pour discuter un peu avec lui, avant qu’il n’organise sa séance matinale d’aquagym avec les vacanciers. Il était encore étudiant et ne travaillait uniquement les matins pendant les congés, comme animateur et surveillait le bassin pour payer ses études.

Le quatrième jour, en passant, il prit le temps de s’arrêter à ma hauteur et me demanda pourquoi je n’assistais pas à ses séances d’aquagym :
— C’est dommage, vous n’allez pas à la piscine les matins.
— Nous allons nous balader avec mon mari, je vais à la piscine qu’en fin d’après-midis.
— Vous savez, mes clientes ne sont pas des tops modèles, je préférerais de loin, vous voir en maillots deux pièces. Essayez de venir, vous me ferez un grand plaisir.
— Pourquoi pas ! Lui dis-je, peut-être un peu trop vite.

En effet, Armand aimait faire sa ballade après le petit déjeuner que nous prenions dans la salle du restaurant. Les propos de ce jeune homme m’avaient toute émoustillée, j’étais très fière d’être ainsi courtisée et désirée. Je n’avais pas du tout envie de coucher avec ce type qui devait avoir toutes les filles qu’il voulait mais le fait qu’il se lance dans une drague aussi directe me donnait le frisson.

Même si sexuellement, depuis quelques temps, mon mari n’était plus ce qu’il fut par le passé, je ne me sentais pas comme une mal-baisée car il me faisait du bien mais nos courtes relations s’espaçaient de plus en plus et l’ambiance estivale faisaient monter mon désir. Je ne voulais pas tromper Armand, il en était hors de question mais je désirais jouer un peu avec ce maitre-nageur qui me faisait rêver.

Lorsque nous prenions le petit déjeuner, je dis à Armand que j’avais pris quelques kilos et que je devais perdre un peu de cellulite, les vacances ne m’étaient pas favorables :
— Tu es très bien comme ça, ma chérie.

— À cette allure, j’aurai vraiment des difficultés à tout perdre. Je ferais bien un peu d’aquagym les matins, il y a des séances.
— Tu peux me laisser seul pour ma promenade, c’est vrai que comme sport pour toi ce n’est pas assez intensif. Soit !

Pendant les deux jours suivants, je retrouvais donc Gaël dans la piscine. Depuis ma venue à ses cours, il ne restait plus sur le bord mais se retrouvait dans l’eau. Il venait souvent vers moi, me touchant, en me montrant les exercices, volontairement je ne les faisais pas correctement. Puis lorsque la séance était terminée, je lui donnais un coup de main pour ranger les frites, les planchettes et ballons dans le cabanon prévu à cet effet.

Pour le lendemain, le jeudi matin, j’avais acheté la veille un maillot deux pièces, le bas était très échancré et le haut presqu’une taille en dessous, il me couvrait à peine les aréoles de mes seins, c’était comme une deuxième peau. Lorsque Gaël m’avait dit bonjour en me faisant la bise, pour la première fois, Il me toisa de la tête au pied puis me dit doucement :
— Vous êtes magnifique Alexandra. Vraiment ravissante. Un rien vous habille. Rajouta-t-il en souriant.
— En effet, il n’y a pas beaucoup de tissu. Blaguais-je.

Un peu plus tard dans la piscine, voyant que je ne faisais toujours pas l’exercice comme il fallait, il s’était placé derrière moi, en se baissant pour guider ma jambe, j’avais ressenti son sexe se frotter contre la raie de fesses lorsqu’il me dit à l’oreille :
— Tu es formidable Alexandra, je pense à toi toute la journée. Tu es si belle.
— Je suis mariée Gaël, toutes les filles te courent après, tu n’as que l’embarras du choix. Pourquoi moi ?
— Je craque, tu me fais bander.

Ne pouvant rester plus longtemps auprès de moi sans éveiller les soupçons, il reprit son cours. Lui aussi me faisait craquer, j’étais très excitée et ses mots avaient fini par me faire mouiller, j’avais peur qu’un effluve de cyprine s’échappe de mon intimité et s’épande dans l’eau de la piscine avant de s’y dissoudre.
Pendant toute la séance, je ne pensais qu’à cet homme qui me faisais rêver. Au moment du rangement, je rentrais les derniers ballons dans le local, lorsque je pénétrais dans le cabanon où il m’attendait debout, Il m’attrapa gentiment par le bras et me tira à l’intérieur.

Il ferma la porte derrière lui, j’étais très proche de lui dans cet espace réduit, je n’ai pu m’empêcher de me jeter dans ses bras. J’avais le souffle court, haletant et j’entendais les battements de son cœur qui tambourinaient dans sa poitrine. Je posai mes lèvres contre les siennes. Je lui mis les bras autour de son cou pendant qu’il me prenait par la taille, j’étais toute excitée, dans les bras de ce maitre-nageur. À aucun moment, je ne m’étais dit que je faisais une bêtise, mon mariage, mes s je les avais complètement oubliés. Puis, en me redressant sur la pointe des pieds, je glissai mes deux mains dans ses cheveux pour l’embrasser.

Ma langue força le passage de ses lèvres pour pénétrer sa bouche et se mêler à la sienne dans un baiser sensuel, langoureux, et mes mains parcouraient la peau douce et tiède de son corps musclé. Il voulait toucher mes seins, les tétons tendus semblaient vouloir déchirer le tissu mouillé de mon petit haut, je sentais la dureté de son sexe contre mon ventre.
— Si tu veux les caresser, enlève-le. Lui dis-je franchement sans pudeur.

Il m’écarta de lui et exécuta mon ordre, il posa le soutif sur le siège et regardait avec admiration ma poitrine :
— Touche-les, malaxe-les. Lui ordonnais-je en me tournant.

Je m’appuyai à lui, mes fesses contre son sexe que je ressentais très bien. Il m’avait pris les seins de ses deux mains et me les caressait, il était tendre et doux, il osa me prendre les tétons qui devenaient sensibles prisonniers de ses index et ses pouces. Je me mis sur la pointe des pieds, je remuais mon bassin, je me frottais la raie de mes fesses contre sa verge tendue et gonflée.

Au bout de quelques minutes, il me libérait de son étreinte, et entreprit de m’enlever le bas, j’avais fait demi-tour et fis la même chose, son phallus était bandé devant moi.
Je m’accroupi et pris cette belle queue dans ma bouche, il mit ses mains derrière ma tête mais n’osait pas me faire mal. Je m’activais d’avant en arrière tout en léchant de ma langue son gland qui semblait énorme dans ma petite bouche.

Mes mains posées sur ses fesses, je l’attirais un peu plus en moi, je voulais l’avaler entièrement. Je gardai son pénis jusqu’à la garde, le plus loin possible sans que cela me gêne, quelques secondes puis je le ressortis, j’avais du mal à respirer et une grande quantité de liquide gluant sortit de ma bouche atterrissant sur sa hampe et sur le sol. Je repris ma fellation, avec de la douceur, je léchais sa hampe et son gland, je remettais l’ensemble entre mes lèvres et ressortais son engin pour le lécher de nouveau.

Ma main lui emprisonnait ses bourses bien pleines, tandis que l’autre se trouvait entre ses fesses, mon doigt lui massait son anus. Il me prit sous les aisselles, et me fit remettre debout, il voulait embrasser mes seins, il devait les aimer. Il suçait mes mamelons, les aspirait pendant que mes mains lui prodiguaient quelques caresses le long de sa verge. Je n’en pouvais plus, il ne m’avait pas encore touché mon intimité, mais la cyprine que je secrétais, suintait et coulait le long de l’intérieur de mes cuisses.

Ses mains empoignaient mes seins, les soupesèrent, et les malaxaient avec délicatesse. Je frissonnais de plaisir, sa bouche repris possession de la mienne. Je me tordais dans tous les sens, ne pouvant échapper aux vagues de plaisir qui inondaient ma chatte trempée.

Enfin sa main glissa le long de mon ventre jusqu’à mon vagin. Il introduit directement son index à l’intérieur. J’étais trempée, son doigt puis un deuxième caressait l’entrée de ma vulve puis remontait titiller mon clitoris, gonflé de sang et durci par mon excitation. En quelques secondes, j’étais prête à exploser, j’essayais de résister mais je cédai finalement à l’orgasme, mon corps traversé par des vagues de plaisir. Je m’étais retourné, je cambrai le dos et lui dis :
— Viens, prends-moi, maintenant.

La tension et la situation me faisait gémir, j’eus à un certain moment, une excitation supplémentaire lorsque j’entendis parler deux femmes qui s’étaient arrêtées à notre niveau, je les imaginais l’oreille collée à la paroi en bois essayant de deviner ce que nous faisions. Mais très vite, je ne m’occupais plus d’elles.

Lorsqu’il m’avait pénétrée avec son long et beau phallus, j’avais éprouvé une sensation de bonheur. Après ses longs va et viens plein de tendresse, j’avais eu un nouvel orgasme qui coula sur mes cuisses et souilla le sol en bois du petit cabanon mais je fus surprise et déçue qu’il se soit déversé dans son préservatif. J’aurais préféré recevoir son sperme sur le ventre ou entre mes seins. Timidement, il me dit :
— J’aimerais tant vous reprendre demain matin.
— On vient de baiser et tu me dis encore vous !

Il se mit à rire et m’embrassa. J’avais enfin trouvé en lui mon premier amant et je ne voulais surtout pas m’en priver, je savais que ce serait une liaison dangereuse pour moi mais je le voulais, il avait su m’apporter que du bonheur. Afin de ne pas montrer mon envie, je lui fis un petit clin d’œil malicieux en lui disant :
— Allez, file, je te rappelle que tu travailles jusqu’à 13 heures.

Nous avions la chance, l’entrée du local matériel était un peu à l’abri des regards, nous avons pu refaire l’amour tous les matins après ma séance d’aquagym au milieu des frites, planchettes en mousse et ballons en caoutchouc, à proximité des vacanciers qui profitaient de la piscine. Ce lieu public et inadéquat était devenu notre nid d’amour, cette situation, l’endroit, l’interdit et le public autour de nous faisait monter mon désir.

J’étais très excitée dès le matin lorsque je me levais et prenais mon café en attendant que Gaël passe devant moi en me faisant la bise. J’avais passé pendant le restant de mes vacances des moments inoubliables dans les bras de mon maitre-nageur. Je continuerai à vous conter la suite, car de mon infidélité, j’ai connu d’autres aventures afin de satisfaire mes envies sexuelles.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.


Si comme Alexandra vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!